Mathieu DAVY, à l’ère de l’économie numérique, propose une nouvelle initiative dans la profession juridique, visant à servir un secteur confronté à l’innovation. Ces initiatives ont des implications importantes pour l’avenir de la profession. Mathieu DAVY en collaboration avec AVOTECH bouleverse le marché du droit avec l’émergence des technologies juridiques.
L’arrivée des nouvelles technologies dans le secteur juridique
Dans un tel environnement, une nouvelle page de site web ou une nouvelle façon de travailler avec les clients est souvent accueillie par une critique systématique, plutôt que par un soutien enthousiaste. Cette tendance est fortement influencée par la question de savoir si la profession juridique peut survivre à la révolution numérique. Par ailleurs, Mathieu Davy dans son interview sur fleurd’avocat.fr soutient que cela est bel et bien possible.
Une analyse des facteurs et des produits de la transformation numérique montre que l’impact de cette dernière est plutôt positif, car la technologie juridique a apporté beaucoup de valeur ajoutée à la profession juridique, mais n’a pas éliminé la nécessité d’une intervention humaine. Le développement de la technologie a également contribué à créer de nouvelles formes de travail et de gestion dans tous les secteurs, y compris dans la profession juridique.
Les changements provoqués par le numérique dans le domaine de la juridiction
Avotech, une plateforme qui a su concilier l’avancée du numérique et le domaine juridique, propose certaines approches. Si ces changements dans l’environnement juridique semblent soudains, ils peuvent néanmoins s’appuyer sur deux phénomènes bien connus des juristes.
Premièrement, un certain nombre d’études ont montré que les citoyens ont le sentiment d’être confrontés à un système judiciaire lent, coûteux, complexe et difficile à comprendre. Plusieurs personnes se disent prêtes à engager des juristes expérimentés pour obtenir des avis d’experts sur des litiges complexes, mais regrettent de devoir payer des parajuristes débutants pour des tâches administratives qui peuvent être effectuées par des personnes moins compétentes comme des assistants juridiques. Pour de nombreuses personnes, le recours à la loi peut s’avérer très difficile et il serait impensable de faire valoir leurs droits sur des questions qui peuvent se poser dans leur vie quotidienne. Rassurez-vous Mathieu DAVY et la firme CALL A LAWYER sont là pour remédier à ces différents sujets. Si vous ne connaissez pas de qui il s’agit ? Vous pouvez en savoir plus sur Mathieu Davy.
Le deuxième phénomène est clairement la robotisation de la société. De nombreuses tâches répétitives ne nécessitent plus d’intervention humaine, et certains robots et logiciels peuvent même jouer le rôle de conseillers juridiques. Aux États-Unis, cela se fait déjà sous la forme de robots qui donnent des conseils sur les infractions routières.
Les implications pour la profession juridique
Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) ouvrent le champ à la dématérialisation du système juridique. La rapidité et la flexibilité de la communication et de l’activité judiciaire ne peuvent que bénéficier de ce changement soudain. De par sa nature même, cette transformation a eu un impact positif et riche sur la profession et le secteur juridique.
En outre, le processus soulève clairement des questions éthiques. Par exemple, la désymbolisation de l’activité judiciaire en faveur de la certitude numérique, associée aux inquiétudes concernant la manipulation des bases de données, conduit à une déshumanisation et à la crainte d’une « justice bon marché ».
S’il est vrai que la numérisation de la justice comporte certaines difficultés et soulève de nombreuses questions non résolues, l’apport positif de la maîtrise du numérique dans ce domaine est déjà indéniable.